Le concert

Francesco Grassini ouvre un nouveau chapitre en tant que chef d’orchestre de L'OHPG, évoquant les inspirations intérieures de Barns et Smith 

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La musique

Le Barbier de Séville est basé sur la première des deux pièces consécutives de Beaumarchais (1732-1799), Le Mariage de Figaro étant la seconde, bien que l’ouverture ne contienne, de manière inhabituelle, aucun thème de l’opéra qui suit. La musique, cependant, est pétillante et mélodieuse, englobant « l’esprit » de l’histoire qui est sur le point de se dérouler. L’ouverture suit la forme du style classique italien, avec une introduction lente suivie d’un Allegro brillant. Bien sûr, le célèbre crescendo, si typique des œuvres de Rossini, est également présent.

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Vingt variations, basées sur le thème du 24e Caprice en la mineur de Paganini (pour violon solo), mettent en valeur tous les solistes et sections majeures de l'orchestre.

J'ai décidé que, comme Johannes Brahms et Sergei Rachmaninoff , je m'en tiendrais à la progression harmonique de base utilisée par Paganini. La raison pour laquelle j'ai écrit cette pièce en la mineur est que le Caprice de Paganini (qui est lui-même un ensemble de neuf variations virtuoses) est en la mineur. Je l'ai fait par respect pour les intentions originales du compositeur. Mon concept général était d'utiliser la technique des variations pour mettre en valeur chaque instrument soliste et/ou chaque section instrumentale de l'orchestre d'harmonie moderne. (Note du compositeur)

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​​Avec la Divine comédie de Dante, Smith, qui est un compositeur symphonique moderne (il a fait de nombreuses musiques de films) retranscrit bien toutes les caractéristiques de l’au-delà à travers sa musique, les roulements de timbale dans l’enfer, la douceur du cor au paradis…

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Les interprètes

L'OHPG et Francesco Grassini donnent vie à des couleurs orchestrales spectaculaires, chaque instrument ayant son moment de gloire – un programme radieux pour inaugurer une nouvelle saison.

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